C'est intolérable!Les protestations sur la circulationdes motos, cycles et leur stationnement sur les trottoirs, comme celles sur la circulation des planches à roulettes et patins à roulettes, auprès de la mairie de Paris et de la préfecture de police, restent rigoureusement sans effet, bien que les faits signalés soient interdits par des arrêtés inter-préfectoraux déjà anciens. Les gardiens de la paix et les petits «épinards» théoriquement chargés de les assister se contentent de les contempler avec indifférence ou indulgence . L'administration attend probablement quelques accidents mortels pour intervenir. Ph. RAMBAUD, Paris. |