Background image

terug

Verre d'eau au café

 

Verre d’eau au café: gratuit, mais jusqu’à quand?

  
 A la terrasse d’un café, beaucoup de 
 gens demandent un verre d’eau avec 
 leur café. C’est une habitude qu’on a 
 copiée sur les Italiens. Dans cette partie 
5 de l’Europe, où il fait plus chaud l’été, les 
 gens adorent cela. A Strasbourg, ce 
 verre d’eau est encore gratuit. Mais est- 
 ce que cela va durer? Ce n’est pas sûr. 
 [id:13604], selon la loi, le cafetier1) n’est pas 
10 obligé de servir des verres d’eau 
 gratuitement. S’il le veut, il peut très bien 
 les faire payer. 
  
 Chaque été, la discussion autour du 
 verre d’eau gratuit recommence. Le 
15 problème, c’est que certains clients 
 prennent les places aux terrasses et 
 restent devant leur verre d’eau et leur 
 café pendant des heures. C’est 
 embêtant pour les cafetiers1) qui ne 
20 peuvent pas continuer à servir et à 
 gagner de l’argent. 
  
 C’est pour cette raison que dans certains 
 cafés, on pense sérieusement à faire 
 payer le verre d’eau. Il s’agit surtout des cathédrale. Les cafetiers1) de la rue
25 propriétaires qui ont des cafés dans le commerçante sont d’accord avec lui. «Il
 grand complexe de cinéma. Le public y40 y a des exceptions, mais en général, les
 est très jeune et occupe souvent gens qui font du shopping occupent les
 longtemps la terrasse en buvant tables pour peu de temps.»
 seulement un café et un verre d’eau (la 
30 consommation la moins chère). Par Joël Rigot, barman, a trouvé une
 contre, les cafés près des monuments solution. Il sert de tout petits verres
 historiques veulent continuer à servir les45 d’eau avec le café. «De toute façon, les
 verres d’eau gratuits. «Les touristes sont gens qui commandent de l’eau n’ont
 venus pour visiter la ville. Même s’ils souvent même pas soif. Trois fois sur
35 prennent de l’eau avec leur café, ils ne dix, les verres reviennent pleins. Les
 restent jamais longtemps», dit Bruno gens nous laissent courir pour rien. C’est
 Jahn, patron d’un café en face de la50 un scandale!»
  
  d’après «Dernières nouvelles
  d’Alsace»