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L’art des rues

L’art des rues



 Dans un musée de Monaco il y a   25 lettres qui est belle et unique. J’ai
 actuellement une exposition de 500 joué aussi avec les bombes, ce sont
 graffitis. Ces dessins et signatures des trucs qui diffusent la peinture,
 sont aujourd’hui considérés comme par exemple pour faire des graffs. Le
5 des oeuvres d’art. Cela n’a pas tou- graff demande plus de temps, de
 jours été le cas. Nous avons30 couleurs et d’espace que le tag: c’est
 rencontré un des graffeurs dont le un dessin. Il peut être réalisé en
 travail est exposé dans ce musée. Il équipe, chacun avec sa spécialité:
 s’appelle Mathieu. Il a commencé le décors, personnages, lettres,
10 graff à l’âge de 15 ans. Voici ce qu’il perspective… Une grande partie du
 nous dit de son travail.35 plaisir, c’est que ton graff soit vu par
 «Bonjour, je m’appelle Mathieu. le plus grand nombre de personnes
 Je veux bien vous parler de moi et de possible. Ce qui est 32 aussi,
 mon travail. Il y a quelques années, c’est faire des graffitis à un endroit
15 j’écoutais du rap, j’étais dans la surveillé sans se faire prendre par la
 culture hip-hop, la culture des arts de40 police… Dans tous les cas, il faut
 la rue. Et puis un jour, j’ai commencé penser à se protéger les mains avec
 à taguer. Un tag, c’est une signature. des gants, et il faut surtout porter un
 Au début, j’ai cherché mon blaze, masque ou une écharpe enroulée
20 c’est le nom que le tagueur utilise autour du nez et de la bouche pour
 dans ses dessins. J’ai imité, j’ai45 ne pas respirer la peinture, qui est
 reproduit ce que j’ai vu dans la rue, souvent très toxique!»
 j’ai essayé de créer mon propre style, 
 de trouver une combinaison de    d’après L’Actu, juillet 2011